Les agents de terrain ne disposent souvent pas de beaucoup de temps ni du matériel nécessaire pour rassembler l'information dont ils ont besoin pour des projets de développement. Ce document notait que la norme des exercices d'évaluation rurale participative (ERP) exprimait les perceptions des communautés mais non l'exactitude géographique, tandis que les méthodes de cartographie basées sur des photos aériennes pouvaient être coûteuses et difficiles à employer dans des zones de fortes variations topographiques comme au Népal. La création de croquis en collaboration avec les autochtones, c'est-à-dire la cartographie participative, s'était révélée un excellent moyen de surmonter les déficiences d'autres approches pour obtenir des cartes exactes, se rapportant aux caractéristiques locales des sites ainsi qu'à l'utilisation des terres et leur tenure. Les auteurs énonçaient des principes à appliquer lors de réunions au cours desquelles ces cartes étaient établies.